HtmlToText
découverte, liberté et expression recherche pour : recherchez aussi : - faut il travailler - oleg dou - genevieve gauckler - mensonge peut il legitime - peut on vivre illusion articles récents commedia dell’arte a-t-on besoin d’idéaux ? ombres d’été matali crasset un poème faut-il travailler ? sublimations kt tunstall bleu fané vers une normalité moyenne ? catégories a découvrir… a vous de jouer ! infos ! kaléidoscope - – echantillon de poésie - – parcelle de prose les malinesses… les philomalines… vos malinesses à vous ! liens esquisses immatures le blog de baladine réflexions partagées souviens-toi… unblog.fr archives avril 2008 mars 2008 février 2008 janvier 2008 décembre 2007 novembre 2007 octobre 2007 septembre 2007 août 2007 méta inscription connexion flux rss des articles rss des commentaires bienvenue sur mon blog ! 15 août, 2007, 16:41 classé dans : infos ! bonjour à tous ! moi c’est maline, et… voici mon premier blog ! je ne sais pas comment il évoluera, mais je compte déjà sur vous pour lire, re-lire et surtout participer, faire vivre cet espace qui se veut ouvert et pour tous, non seulement par vos remarques et commentaires qui sont les bienvenus et seront pris en considération, mais aussi et surtout par les propositions de textes, de poèmes ou de réflexions à nous faire partager ! en bref, je vous propose un lieu d’écoute, de découverte et… d’expression ! alors à très vite… maline 36 commentaires -- commedia dell’arte 19 avril, 2008, 19:55 classé dans : - - parcelle de prose , kaléidoscope sous la lune ronde s’arquent deux bras, deux jambes, deux corps ; se rejoignent deux âmes pourtant immobiles. l’une, vêtue d’un noir ardent, propose aux yeux de l’autre la parure rouge de son amour, les délicieuses révolutions de sa passion. l’autre, une fleur sur des cheveux d’ébène, invite et repousse tout à tour, joue au jeux du désir et de l’abandon. et sous la voûte du ciel absent, fi de la nuit et de l’ombre, dansent deux créatures à l’unisson. du regard d’une étoile, tango balancé, tango serré, prélude à la fièvre urgence qui – de son doigt posé léger sur son épaule, de sa main posé collé dans le creux de ses reins, de son souffle court dans son cou, de son parfum chaud sur sa joue – s’emparera bientôt d’eux, n’est que l’illustre illusion d’un temps éternel, que la magie d’une transe où l’infini côtoie l’ordinaire : un pas, un autre, et l’envie, encore. que la magie d’un corps à corps rythmé d’un commun accord lorsque l’apaisement succède aux pulsations instantanées, précède à d’audacieuses figures, à d’aventureuses rencontres d’un pied contre l’autre ; à la communion d’une seconde et puis d’une autre. qu’une ensorcelante magie, qui ne dure que l’espace frustré d’une milonga ; et ne s’étend ni aux temps chagrinés ni aux lieux désolés. du regard d’une étoile, tango balancé, tango serré, n’annonce que ce tango cris, tango larmes, tango folie, tango jalousie, qui – de son œil enflammé, de son dos cambré, de son talon campé, de son port de brûlante fierté – pointe déjà aux partenaires étourdis de musique, enivrés des insidieuses fragrances de l’amour, égarés par les affres exquises d’une danse d’un soir… mais chut, car sous la voûte du ciel absent, fi de la nuit et de l’ombre, s’arquent deux bras, deux jambes, deux corps ; se séparent et se rejoignent deux âmes pourtant immobiles ; dansent deux créatures à l’unisson… alors chut, aux amants improvisés ne révélons ni le mal ni la mort ni la peine, car pour eux seuls s’animent au firmament les brillantes étoiles du tango ; milles visages, milles vérités et milles facéties, comme le bref théâtre de la vie. 8 commentaires -- a-t-on besoin d’idéaux ? 19 avril, 2008, 19:25 classé dans : les philomalines... l’idéal et le réel s’opposent-ils ? l’idéal réside-t-il exclusivement dans la pensée ; le réel, c’est-à-dire l’expression tangible de l’idéal, est-il inévitablement imparfait ? peut-on dire que les défectuosités de la vie mettent en lumière les idéaux vers lesquels tendre ? de même les idéaux inspirent-ils le réel ? a-t-on donc besoin d’idéaux ? 0 commentaires -- ombres d’été 9 avril, 2008, 16:31 classé dans : - - echantillon de poésie , kaléidoscope ombres d’été, découpes délicates et incertaines, magie évocatrice de leurs figures lointaines, balancées au rythme du vent et de ses blanches voiles reportées au sol par la chaude ardeur du dieu soleil… eblouir osiris, anubis, seth et leurs pareils, saupoudrer à la terre plate leurs fantasques voyages dans ce vaste pays jadis nommé imaginaire – etrange monde de roses, d’épines et de mystères - tel est le rôle des enjôleuses ombres de passage, ersatz au noir théâtre de la nuit et des étoiles… 6 commentaires -- matali crasset 2 avril, 2008, 11:52 classé dans : a découvrir... de la scénographie au mobilier, du graphisme à l’architecture intérieure, en passant, bien sûr, par le design d’objets, le travail de matali crasset se conçoit comme une constante recherche de mouvement, faite d’hypothèses, d’affranchissements, d’expérimentations… entrons dans l’ébullitions de formes et d’idées de son atelier ! http://www.matalicrasset.com/ bonne visite ! 0 commentaires -- un poème 1 avril, 2008, 11:49 classé dans : - - echantillon de poésie , kaléidoscope un poème, léger souffle d’hiver ou printanière pensée égarée, consacre de beauté les éphémères sensations de ces choses magnifiées par le mystère de mots millénaires crayonnés sous la plume passionnée d’un simple musicien solitaire… un poème, instant inattendu lorsque ondule au vent une fleur fragile, embaume le soir des temps révolus par la douce sérénité tranquille de ses pétales clairs et absolus ornés de transparences juvéniles jusqu’à effacer les heures éperdues… un poème, bruissement essentiel murmuré au creux tendre d’une oreille, proclame la ferveur confidentielle d’un cœur ardent comme pétri de soleil annonçant l’ère d’un être pluriel, l’éclosion de deux âmes qui s’éveillent… 2 commentaires -- faut-il travailler ? 24 mars, 2008, 14:40 classé dans : les philomalines... le travail est-il une nécessité, une contrainte, une obligation, un droit ? est-il pour l’homme une liberté ou une servitude ? contribue-t-il à unir ou au contraire à diviser en engendrant de l’inégalité ? l’homme s’accomplit-il dans le travail ? 3 commentaires -- sublimations 24 mars, 2008, 0:34 classé dans : - - parcelle de prose , kaléidoscope visages burinés, mains écorchées et corps fatigués ; j’attends. l’un de ces regards qui ne soit pas empreint de pitié, l’un de ces sourires qui ne soit pas grimace déguisée ; l’une de ces choses qui ne viennent jamais. peut-être ne faut-il pas trop croire, en la nature et en sa bonté ; peut-être faut-il douter, du temps et de l’humanité… rues propres, champs moissonnés et toitures réparées, j’attends ; il est six heures, un soir d’été. fiat lux ! que la lumière soit ! dira demain la soutane du curé ; fiat lux ! que vos yeux voient ! réfutera le silence nos bras ouvriers ; fiat lux ! que l’ombre et la clarté ne se mélangent pas ! retiendront les ouailles endimanchés… gobelets vidés, outils rangés, et sacs de papier fermés ; j’attends. le forgeron forge encore, le tisserand tisse l’ultime mètre, le mendiant mendie sa dernière pièce. moi, j’attends l’espoir. que le forgeron prêche, le tisserand chante et le mendiant philosophe ; que l’on se souvienne qu’un pauvre laboureur laboure, et pense, aussi… travail accomplit, journée bien remplie et quelques instants de répit ; j’attends. mais quitte-t-on sans le renier son état laborieux ? passe-t-on du jour à la nuit, du blanc au noir, du solide au gazeux ; du corps à l’esprit ? soudain, là-bas, au coin de la rue, une femme me sourit. je n’attends plus. il est six heures, un soir d’été… 2 commentaires -- 1 2 3 4 5 ... 14 rat(s) de bibliothèque | amazighunique | *libé-lul* | unblog.fr | créer un blog | annuaire | signaler un abus | mes sens | mi corazon | livre des souvenirs